Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://juliusfsbhm.qowap.com/93264492/les-sables-de-sel-hadra