Le théâtre s’élevait au cœur de le village, soumettant nonobstant ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait dans les anciens temps reçu les grands musiciens de son époque. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses allées désertes. Arthur poussa https://jaredhfzun.bloggip.com/33837187/la-partition-du-destin-figé